Pablo Hodar, escribiente de árabe en la Biblioteca Real, y su participación en dos falsificaciones del XVIII. ["Pablo Hodar, Arabic scribe at the Royal Library, and his involvement in two forgeries of the 18th century."]
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Résumé
Pablo Hodar, monje y presbitero maronita nacido en Latakia (Siria), viene a Europa en 1755 y tras varios años de estancia en Roma y Nápoles se traslada a España e ingresa en la Biblioteca Real de Madrid donde, en calidad de escribiente de árabe y bajo la dirección de Miguel Casiri, copia y coteja algunos de los más importantes manuscritos de la Biblioteca de El Escorial. Su relación con Juan Amón, también escribiente de árabe en la Biblioteca, le mezcla en dos desafortunadas falsificaciones, una de las cuales fue motivo de su destierro. Su obligada salida de España le lleva a Portugal, y allí es nombrado catedrático de lenguas orientales en la Universidad de Coimbra, puesto que conserva hasta su muerte en 1780. Personaje interesante en el arabismo peninsular del XVIII, es miembro de una cadena de siro-maronitas que tanto en España como en Portugal colabo raron de manera decisiva al progreso de los estudios árabes y orientales.
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Références
Véase el PDF.